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Madrigaux de Monteverdi, Livre I à la Philharmonie
- Arts & spectacles
- 43 min 27 s
- indisponible
- tous publics
« Interpréter tous les Livres de madrigaux permet de comprendre la fantastique évolution de la musique de Monteverdi et à travers elle, de découvrir la révolution qui a eu lieu dans la musique en Italie au début du XVIIe siècle. » Paul Agnew, site des Arts Florissants Le madrigal Le madrigal est une forme de musique vocale ancienne, qui s'est développée au cours de la Renaissance et du début de la période baroque. Le Livre I, un Livre écrit dans un style pastoral Écrit en 1587, le Livre I des madrigaux de Monteverdi est dédié au comte Marco Verità, poète et mécène de Vérone. Monteverdi a 19 ans et cherche peut-être à se faire engager. Le recueil est écrit dans un style pastoral et parfois dissonant. L’une des pièces, "La vaga pastorella", s’ouvre sur une série de bonds décrivant la bergère dans un champ. Un Livre déjà riche dans la variété des émotions retranscrites La légèreté alterne avec les larmes. Certains passages sont plein de dissonances qui viennent dépeindre la peine. Conversation entre Paul Agnew et Pascal Duc
, conseiller musical des Arts Florissants, à propos des sources bibliographiques originales des madrigaux et de la nouvelle édition utilisée par les Arts Florissants : [[asset:video:194625 {"mode":"in_body","align":"none"}]]Voir l'intégrale des madrigaux : Les Livres I à VII en replayLe Livre VIII (partie 1) en direct le 20 avril 2015 (partie 1) puis en replayLe Livre VIII (partie 2) en direct le18 mai 2015 (partie 2) puis en replay Livre I Ch’ami la vita mia nel tùo bel nome Se per havervi oime donato il core A che tormi il ben moi Amor per tua mercè vattene à quella Baci soavi, e cari Se pur non mi consenti Filli cara & amata Poi che del mio dolore Fumia la pastorella Almo divino raggio All’hora i pastor tutti Se nel partir da voi vita mia sento Tra mille fiamme e tra mille catene Usciam Ninfe homai fuor di questi boschi Questa ordì il laccio La vaga pastorella Amor s’il tuo ferire Donna s’io miro voi giaccio divengo Ardo sì ma non t’amo Ardi ò gela à tua voglia Arsi & alsi à mia voglia