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Guillaume Poncelet et Thomas Azier au Studio Davout
- Arts & spectacles
- 7 min 6 s
- indisponible
- tous publics
Thomas Azier aime Berlin. Il considère sa ville d'adoption comme un personnage à part entière. Le patrimoine de cette cité en mouvement permanent l'inspire au point qu'il décide d'enregister son premier album "Hylas" dans une ancienne fabrique de cloches est-allemande. Le fruit de cinq ans de travail méticuleux et de deux Eps, et aussi de riches recontres artistiques : Stromae, dont il a assuré certaines premières parties et avec qui il partage le même label, et Woodkid. L'artiste parvient à croiser avec brio pop romantique et une musique électronique plus froide, le tout servi par une voix chargée d'émotion. En 2017, il publie "Rouge". J'aime le contraste dans ma musique : le froid et la chaleur, l'agressivité et la douceur, l'analogique et l'électronique, la mélodie et la rigidité de la techno allemande. Je joue constamment avec ces idées et je les fais entrer en conflit.Thomas Azier Regardez le clip "Red Eyes" de Thomas Azier :[[asset:video:111687 {"mode":"in_body","align":"none"}]] Hommage au Studio DavoutL'arrangeur et musicien Guillaume Poncelet invite Gaël Faye, Ben Mazué, Thomas Azier, Malvina Meinier autour d'un orchestre de chambre pour un ré-arrangement inédit de leurs compositions. Un concert enregistré dans le légendaire Studio Davout, qui a fermé ses portes le 9 avril. Ce lieu emblématique de la musique, réputé pour son exceptionnel acoustique et son amphithéâtre pouvant accueillir des orchestres a vu se succéder en son sein les plus grands artistes de la scène française et internationale : les Rolling Stones, Claude François, Patrick Bruel, Barbara, Nina Simone, Roberto Alagna, Alain Bashung, Charles Trenet, Serge Gainsbourg, Madonna, U2, Rihanna, Pharrell Williams. Michel Legrand y a enregistré la musique de la comédie musicale "Les Demoiselles de Rochefort" de Jacques Demy.