Reportage : H. Guttmann, P. Conte, JP Lambinet, S. Terrine
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La colonisation a en effet permis le métissage de ces cultures. Ce sont les esclaves d'origine africaines qui se sont servis de chants nommés areítos (danser en chantant), pour conter l'histoire de leur groupe ethnique. Ainsi ces chants étaient une leçon historique que gardaient en mémoire ceux qui l'entendaient.
Au commencement, il y avait les tambours des esclaves accompagnant les veillées funèbres. Plus tard, les Indiens des Antilles ont ajouté ocarinas, flûtes de roseau, plus tard les Espagnols apportent la mélodie, les paroles et la danse. Des maracas et des bongos sont parfois utilisés.

Tout au long du festival, des bals des quatre coins de la planète sont organisés
© France3 / CultureboxLe Festival des Villes de musique du monde ouvre pendant un mois places et chapiteaux pour des bals immenses où la chaleur humaine et le rapprochement des corps vont réchauffer quelques nuits automnales. 13 villes de Seine-Saint-Denis participent à cet événement festif et convivial.